Sur fond de noir désir, l’écorché, à la longue, fourbit ses armes à l’endroit, à l’envers.
Si rien ne bouge, en route pour la joie et le vent nous portera.
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Du tourbillon de vie qui nous anime, que laissons nous transparaître?
Le spectre du néant est toujours là pour nous happer…
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Que d’abus sous ce terme. Dans le plaisir chatoyant, la vulgarité se colore de naïveté.
Prendre et goûter tous les instants de notre vie. Et en faire de l’art… pas du cochon.
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Simple comme un décor de boîte de bonbons ou de camembert.
Simple comme l’absence d’artifice. Un recueillement tout en fleurs.
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Tour à tour, les corps et les têtes se substituent dans un instantané
où chacun devient la pierre de l’édifice en construction perpétuelle.
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Le petit monde étrange des amis et de leur perception.
Avec l’aimable autorisation de mes enfants à la source de l’inspiration de leurs dessins.
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En abîme, un lâchage de prise. Plus rien n’a de sens, surtout pas un accrochage.
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Une invitation à la méditation hors champ. Jusqu’où va notre perception…
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Il n’y a plus de cadre, les couleurs le jugulent, l’emprisonnent,
l’accompagnent vers un autre univers.
Il n’est plus désiré dans ce monde. Vivre de cadres ou de couleurs ?
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Perdu, libre, un espace à fantasmer.
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Une expérience étonnante. Se représenter. Montrer son moi.
Avouer des années d’efforts pour sortie du cadre…
Et se retrouver la corde au cou, pendu aux couleurs !
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